fin de l'alerte aux croquettes
Alors, je n'ai toujours pas l'intention dans les jours qui viennent de me remettre à écrire régulièrement sur ce blog. Non, je ne vous ai pas abandonné, j'ai la flemme, vachement autre chose à faire et puis franchement, c'est comme ça, y'a des moments où.
Ceci dit, et comme je suis une jeune femme responsable, il faut bien que, après avoir crié au loup, je rassure la population concernant l'avenir de mes bêtes à poils : l'alerte aux croquettes est passée. Je n'ai aucune idée de ce qui a bien pu se produire (vraisemblablement un blocage en douane), mais enfin, de nouveau, les magasins sont approvisionnés en croquettes, donc mes minettes se portent comme un charme, ayant même pris un peu de poid (rapport aux croquettes junior qu'elles ont avalés goulûment).
Donc voilà. Sinon, c'est pas qu'il ne se passe rien dans notre vie, c'est juste qu'il ne se passe rien à raconter. Vous savez comment c'est, des fois. Donc à part ça, pour les nouvelles tout public, ben il fait beau, je suis toujours méga en retard vis-à-vis de mon éditeur dont acte, je n'écris plus que pour lui (et donc plus pour vous), les minettes sont rondouillardes et tout va bien.
Un de ces jours, il faudra que je prenne le temps de vous réécrire régulièrement. Mais en même temps, il faudrait aussi que je prenne le temps de lire le rapport Attali (qui fait quand même ses 250 pages, mais bon, je suis pas à ça près) et le traité de Lisbonne. D'ailleurs,en fait, il est probable que l'un aille avec l'autre : je vous écrirais ce que j'ai pensé de ces deux pavés que personne d'autre que moi et trois pauvres couillons dans un bureau sans lumière payés pour ça ne lira de toute façon. ça vous fera du changement, que quelqu'un qui n'a rien à voir avec la choucroute vous le résume. Mais bon, en même temps, je voudrais pas donner de faux espoirs, j'ai vraiment pas le temps en ce moment. Il est donc possible que ça passe à la trappe, comme tant d'autres bonnes intentions que j'ai, parfois subitement et ne met jamais en oeuvre.
Bon, ben sinon, quand même, salut à vous, ô mes frères !